Armes de destruction massive
Délire : Altération profonde du psychisme caractérisée par de fausses interprétations ou de fausses perceptions. (TLFi)
Malgré toutes les études et exégèses qui en ont été faites, la Bible et le Coran ne sont au bout du compte que deux ramassis de textes totalement ridicules qui se contredisent les uns les autres, écrits par des fanatiques névrosés dont la vision du monde se limitait souvent à quelques arpents de désert et pour lesquels la terre était plate.
Dans la même verve de délire sinistre et pernicieux on peut leur associer Mein Kampf d'Adolf Hitler.
Avec la peste noire, ces trois torchons ont été la cause directe des plus grandes hécatombes de l'histoire de l'humanité.
Malgré toutes les études et exégèses qui en ont été faites, la Bible et le Coran ne sont au bout du compte que deux ramassis de textes totalement ridicules qui se contredisent les uns les autres, écrits par des fanatiques névrosés dont la vision du monde se limitait souvent à quelques arpents de désert et pour lesquels la terre était plate.
Dans la même verve de délire sinistre et pernicieux on peut leur associer Mein Kampf d'Adolf Hitler.
Avec la peste noire, ces trois torchons ont été la cause directe des plus grandes hécatombes de l'histoire de l'humanité.
La science au secours de la foi
De par son essence même — rigoureuse, objective, intransigeante — et malgré ses imperfections, la science est le seul moyen par lequel l'existence ou la non-existence de Dieu pourront jamais être prouvées, si tant est qu'elles le soient un jour.
Il est donc de l'intérêt même des croyants sincères de soutenir et de promouvoir les efforts de la science vers une connaissance universelle car c'est pour eux l'unique moyen de voir un jour leur foi irréfutablement démontrée.
A contrario, s'opposer au développement scientifique au nom de la religion indique une bien piètre conviction dans les croyances que l'on professe.
Il est donc de l'intérêt même des croyants sincères de soutenir et de promouvoir les efforts de la science vers une connaissance universelle car c'est pour eux l'unique moyen de voir un jour leur foi irréfutablement démontrée.
A contrario, s'opposer au développement scientifique au nom de la religion indique une bien piètre conviction dans les croyances que l'on professe.
Agnosticisme ?
Si celui qui se revendique agnostique entend par là qu'il ne peut démontrer l'existence ou l'inexistence de Dieu, il enfonce une porte non seulement ouverte mais franchement béante car, selon cette définition, tout le monde est de fait, et par la force même des choses, agnostique.
En remontant d'un cran, on peut se demander si, démontrable ou non, l'existence du divin est simplement possible.
Si l'on répond non, on ne peut logiquement que se déclarer athée. Inversement, les soi-disant agnostiques qui ne contestent pas l'existence du divin mais seulement la possibilité de la démontrer sont infiniment plus proches des croyants que des athées.
En matière de religion, il n'y a que trois attitudes possibles : je crois, je ne crois pas, et je m'en fiche. Cette dernière attitude est éminemment regrettable au vu des dégâts qu'a occasionnés la première.
En remontant d'un cran, on peut se demander si, démontrable ou non, l'existence du divin est simplement possible.
Si l'on répond non, on ne peut logiquement que se déclarer athée. Inversement, les soi-disant agnostiques qui ne contestent pas l'existence du divin mais seulement la possibilité de la démontrer sont infiniment plus proches des croyants que des athées.
En matière de religion, il n'y a que trois attitudes possibles : je crois, je ne crois pas, et je m'en fiche. Cette dernière attitude est éminemment regrettable au vu des dégâts qu'a occasionnés la première.
Croyants modérés
On entend souvent des chrétiens ou musulmans dits modérés tenter de dédouaner leurs croyances des atrocités commises par leurs coreligionnaires — attaques suicides, Inquisition... — en affirmant que « Ces gens-là ne représentent qu'une minorité d'extrémistes qui n'ont pas compris le message de la foi ».
Ils oublient qu'il n'y aurait pas eu de SS s'il n'y avait pas eu de nazisme.
Le vrai problème est précisément cette foi qu'ils défendent car c'est précisément elle qui produit ces fous sanguinaires.
C'est peut-être regrettable, mais si les extrémistes sont les pires ennemis des modérés, les modérés sont, eux — à leur corps défendant mais objectivement —, les meilleurs amis des extrémistes.
Ils oublient qu'il n'y aurait pas eu de SS s'il n'y avait pas eu de nazisme.
Le vrai problème est précisément cette foi qu'ils défendent car c'est précisément elle qui produit ces fous sanguinaires.
C'est peut-être regrettable, mais si les extrémistes sont les pires ennemis des modérés, les modérés sont, eux — à leur corps défendant mais objectivement —, les meilleurs amis des extrémistes.
